La structure de l'histoire fantastique de "Le Horla"
Enviado por Byed45 • 3 de Diciembre de 2012 • Ensayo • 1.504 Palabras (7 Páginas) • 646 Visitas
« Le Horla »
Dans le texte « Le Horla » on peut trouver des différents thèmes comme la folie, l’angoisse, la peur, le surnaturelle, la paranoïa, et d’autres. Ça nous montre que, peut-être le narrateur avait des problèmes mentaux ou qui avait une instabilité émotionnelle. Dans cette histoire on peut identifier les éléments constitutifs de la littérature fantastique, c’est-à-dire l’auteur et le lecteur savent que les évènements racontés ne sont pas réel. Ensuite on donnera caractéristiques fantastiques présentes dans ce récit.
1. Les éléments constitutifs :
Le récit est souvent écrit en « Je » : On peut dire que Le Horla est un récit écrit a la première personne l’auteur parle beaucoup de temps en utilisant le pronom personnel « Je ». On peut trouver les exemples suivants.
« J`ai passé tout la matinée étendue sur l`herbe » Page 1
« J’ai un peu de fièvre depuis quelques jours » Page 2
« J´allai faire un tour dans la forêt de Roumare » Page 4
« J’ai visité le mont Saint-Michel » Page 5
« Je vais partir tout à l´heure pour Paris » Page 10
« Je pus enfin me distinguer complètement, ainsi que je le fais chaque jour en me regardant » Page 25
La description de lieux et des personnes : La description de lieux et des personnes a un rôle important, dans ce cas on voit des exemples de description de lieux :
« La grande et large Seine qui va de Rouen a Havre, couverte de bateaux qui passent » Page 1
« A gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville aux toits bleus, sous le peuple pointus des clochers gothiques. Ils sont innombrables, frêles ou larges, domines pas la flèche de fonte de la cathédrale, et pleins de cloches qui sonnent dans l´air bleu des belles matinées, jetant jusqu`à moi leur doux et lointain bourdonnement de fer, leur chant d`airain que la brise m´apporte, tantôt plus fort et tantôt plus affaibli, suivant qu´elle s´éveille ou s´assoupit. Comme il faisait bon ce matin » Page 1
« En face de moi, mon lit, un vieux lit de chêne à colonnes ; à droite, ma cheminée ; à gauche ma porte fermée avec soin, après l’avoir laissée longtemps ouverte afin de l’attirer, derrière moi, une très haute armoire à glace, qui me servait chaque jour pour me raser, pour m'habiller, et où j'avais coutume de me regarder, de la tête aux pieds, chaque fois que je passais devant. » Page 25
Les « non personnes » : Guy de Maupassant utilise dans cette œuvre différents dénominations pour faire référence à « Le Horla » On peut énoncer quelques exemples :
« Un être nouveau ! Pourquoi pas ? Il devait venir assurément ! Page 23
« Des êtres invisibles bien que tangibles » Page 22
« ….ce rodeur d’une race surnaturelle ? Page 19
« Il est en moi, il devient mon âme… » Page 25
« L’être nouveau, le nouveau maître, Le Horla ! » Page 27
La peur:
C’est le moteur de la narration .Elle renvoie à l'angoisse de l'homme qui ne peut maitriser totalement le monde lequel il vit il s'agit du rappelle d'une terreur primitive. Dans le texte, on ne trouve pas seulement la peur mais aussi des troubles de la personnalité parce que le personnage est consciente de ce qui passe quand il dort, il est conscient quand il laisse les différents objets sûr la table et après certains temps ces objets disparaissent mais en tenant compte le fait que il est consciente, ça nous fait référence des troubles bipolaires. Nous pouvons montrer les suivants phrases du texte :
« Cette nuit j’ai senti quelqu’un accroupi sur moi, et qui sa bouche sur la mienne, buvait ma vie entre mes lèvres… » Page 8
« Je sens et je le sais…et je sens aussi que quelqu’un s’approche de moi, me regarde, me palpe, monte sur mon lit, s’agenouille sur ma poitrine, me prend le cou entre ses mains et serre…serre…de toute sa force pour m’étrangler » Page 3-4
« 9 août.- Rien, mais j’ai peur » Page 19
« 11 août. Toujours rien ; je ne puis plus rester chez moi avec cette crainte et cette pensée entrées en mon âme » Page 19
« J’ai sans cesse cette sensation affreuse d’un danger menaçant, cette appréhension d’un malheur qui vient ou de la mort qui approche ce pressentiment qui est sans doute l'atteinte d'un mal encore inconnu, germant dans le sang et dans la chair » Page 2
« A mesure qu’approche le soir une inquiétude incompréhensible m'envahit,
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