Sylvie

Sylvie est un femme qui a vecu des expériences difficiles dans sa vie proffesionelle, néanmoins elle reste positive sur le sujet, à tel point qu'elle assure 'Non seulement je pourrais travailler où que je veuilles mais encore je aurais la bosse de ce travail'.

Elle a étudié la peinture dans l'École d'Arts aprés d'avoir laissé la carrière d'ingénieur en systèmes. Pourtant, les offres d'emploi n'ont pas été tous dans le monde artistique. Elle a dû travailler où qu'elle aurait dû.

D'abord elle a commencé comme femme de ménage. Elle explique 'Ce travail était je plus difficile je pense, car j'étais pas très ordonnée, et je ne le suis pas encore. Je serais un peu plus ordonnée, j'aurais ce travail encore'. Toutefois selon Sylvie, être une femme de ménage lui a donné beaucoup des rémunérations. Elle vivait dans la même maison où elle travaillait, ainsi elle pourrait être disponible tous le temps, en plus elle y mangeait.

Postérieurement elle a décidé quitter ce travail pour essayer dans le monde de l'art. Elle était convaincue que elle aurait de la bonne chance. Malgré sa conviction elle s'est trompée. 'Je pensais à cette époque que j'étais vraiment une artiste! Ben... Peut-être j'étais sous l'influence d'une drogue. Fusse-moi une artiste à ce moment-là, j'aurais eu de l'argent pour bien vivre'. Sylvie, comme elle nous a manifesté, étais plus une mendiante. Elle devais prendre des dons.

Plus tard, Sylvie a trouvé le travail le mieux rémunéré. Étant donné les circonstances, son oncle et sa tante ont décidé de l'embaucher comme directrice commercial de leur entreprise. Là, elle raconte, c'est le travail où elle a fait sa fortune. 'Certes, je n'aimais pas ce travail, mais l'argent est important. Si je n'aurais pas quitté ce travail je serais riche en ce moment'.

Évidement Sylvie a choisi ce qu'elle voulait. Elle maintenant a obtenu un emploi commme professeur de la peinture dans la méme école où elle avait étudié. 'Maintenant je suis salarié licencié, le rémunérations sont pas les mêmes comme directrice commercial, mais c'est le travail que j'aime le plus; au cas où j'aurais choisi l'ingénierie, je serais vraiment affligée et malhereuse'.

Bref, là on peut voir un cas certainement passionné, où Sylvie a montré ainsi que la persévérence attirera la joie.

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