Le Genocide Rwandais
Enviado por Mattais • 10 de Febrero de 2014 • 333 Palabras (2 Páginas) • 118 Visitas
Les témoignages racontent les histoires des victimes graphiquement et émotivement en soulignant les horreurs auxquelles ils devaient faire face pendant le génocide. Ils abordent plusieurs aspects différents du génocide mais les deux que nous allons discuter dans cet œuvre sont le fait que toute la population rwandaise était affectée en manières différentes mais elles étaient toujours horrifiques, et que le massacre était un génocide ignoré par la reste du monde.
Plusieurs extraits parlent des tragédies qui se passaient pendant le génocide et ils montrent comment cette époque affectait gravement presque la totalité de la population dès les enfants dans l’école aux adultes qui se sont rendues orphelines. Le 3e extrait décrit un meurtre graphique d’une mère. Sa fille est forcée d’assister et regarder tandis que sa mère était humiliée publiquement avant qu’elle était tuée, la marquant pour le reste de sa vie. D’un autre côté, extrait 5 parle de la souffrance inverse. Son mari est mort, et elle n’as aucune idée comment et personne ne peut pas la dire. Elle n’assistait pas sa mort et ceci va lui hanter dès que sa propre mort. Ces deux exemples montrent parfaitement comment la mort n’affecte que les tués, cependant les rescapés aussi. Extrait 9 aussi souligne comment les rescapés ne pourrait pas oublier, ils ne voulaient pas oublier ce que s’est passé pendant la meurtrie « il ne peut pas s’empêcher de revenir sur le génocide en permanence ».
Le 2e aspect et que la massacre était généralement ignoré par l’ouest. Le génocide passait sous les yeux des politiciens occidentaux lorsqu’il y avait « de la pagaille en Irak ou en Yougoslavie » mais le conflit au Rwanda, qui était possiblement plus grave et saignant, n’était pas traité comme sérieux et les autres pays le laissaient pour quelques mois. Comme extrait 6 a dit, c’était les Belges, et donc l’ouest, qui ont suscité la haine au Rwanda mais ils n’en fait rien de résoudre ce qu’ils avaient incité. Ils attendaient, « les bras croisés ».
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