Jean Jaques Rousseau
Enviado por aneladgame • 8 de Marzo de 2015 • 547 Palabras (3 Páginas) • 244 Visitas
Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) est un écrivain musicien et philosophe francophone suisse. L'auteur a collaboré à l'élaboration de L'Encyclopédie (1750) un ouvrage majeur du siècle des Lumières. Après avoir affirmé que «l'homme naît heureux et bon, mais que la société le corrompt» cet écrivain crée le roman Les Confessions (1765-1770) dont il reflet l'histoire de sa vie et ses sentiments sont parfaitement comprimes dans ce roman. Rousseau est très célèbre par sa pensée social qu'il divise en trois sujets. Chacun devient le sujet principal d'une oeuvre dont Contrat social parle de la collectivité, L'Éducation sûr l'individu et en 1761 l'auteur écrit le plus grand succès du XVIIIe siècle: La nouvelle Héloïse qu'a comme thème le couple ou la famille et dont «Pèlerinage sentimental» est un extrait de ce roman épistolaire et il serait intéressant d'analyser le fait que ce texte est romantique, en montrant, d'un côté, la relation avec la nature, et d'un autre côté la libération des sentiments.
Tout d'abord, Rousseau en vrai romantique intègre à sa narration la relation avec la nature. Cette dernière a une relation intégrale avec les amants du récit. Une description du lieu de rencontre nous permet de comprendre cette fusion: «Quelques ruisseaux filtraient à travers les rochers; et roulaient sur la verdure en filets de cristal; quelques arbres fruitiers sauvages penchaient leurs têtes sur les nôtres...» (V.13-15) Ce portrait nous permet de découvrir que la nature est un asile pour les amoureux où ils peuvent exprimer ces émotions. Ensuite, Rousseau nous permet d’apercevoir que la nature c'est le miroir de l'âme pour Saint-Preux «Le bruit égal et mesuré des rames m'excitait à rêver. Le chant assez gai des bécassines me retraçant les plaisirs d'un autre âge, au lieu de m'égayer, m'attristait.» (V.59-61) Évidement, le chevalier se sent envahit de mélancolie lorsqu'il s'exprime ainsi. Cette nature est pour lui un ensemble de souvenirs vécus avec sa bien-aimée Julie. Bref, Rousseau intègre la relation avec la nature avec une description du lieu où se trouvent ces deux amants et il nous démontre que la nature est aussi le miroir de l'âme.
En effet, la libération des sentiments est omniprésente. Les émotions sont présentes de manière évidente avec des preuves dont l'auteur nous partage. Pour Rousseau et pour le personnage principal ainsi même pour le lecteur ce sont des preuves d'amour très claires entre Saint-Preux et Julie. On peut remarquer que la passion entre ces deux amants est encore en feu. De la part du chevalier, on trouve des lettres partagées entre lui et Julie:«...la lettre qui toucha ton cœur...» (V.38) tandis que de la parte de la jeune fille on constate sa preuve d'amour lorsqu'elle pleut
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