Analyse Boite de vitesse.

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[pic 4]

 PRINCIPE DE FONCTIONEMENT

Le premier embrayage entraîne l’arbre impair et les rapports impairs : 1, 3, 5 et la marche arrière.

Le deuxième embrayage entraîne l’arbre pair et donc les rapports pairs : 2, 4 et 6.

Les pignons situés sur l’arbre secondaire sont appelés « pignons fous », c’est-à-dire qu’ils ne sont pas reliés à l’arbre secondaire (ils roulent sur des roulements à aiguilles).

Les pignons situés sur l’arbre primaire sont eux des « pignons fixes », solidaires à l’arbre.

Lors du débrayage, le moteur n’entraîne plus les roues et on peut alors faire varier la position d’un baladeur lié à un synchroniseur. Le rôle du synchroniseur est de relier les pignons fous à l’arbre secondaire, lorsqu’il est entraîné dans les cannelures de la roue. Ainsi, la roue adopte la vitesse de l’arbre secondaire et le rapport est enclenché.

Le baladeur manié par le conducteur permet de faire varier la position du synchroniseur, ou anneau de synchronisation. Pour enclencher une vitesse, l’anneau entre alors en contact avec le corps d’embrayage par friction et adopte progressivement sa vitesse. Lorsque celui-ci atteint la même vitesse que le pignon, l’utilisateur peut enclencher la synchronisation complète du synchroniseur (donc de l’arbre secondaire) et du pignon.

Dans le cas de la boîte de vitesse à double embrayage DSG étudiée ici, il existe, comme cité précédemment, 6 rapports de vitesse et une marche arrière. Les rapports 1, 2, 3 et 4 sont situés sur un même arbre secondaire et les 5 et 6 sur un autre. Ces deux arbres secondaires sont tous deux reliés par engrènement au même pignon de sortie. Il en résulte une rotation des roues dans le sens positif (2 engrènements → .[pic 5]

Pour la marche arrière, on ajoute un arbre en plus qui va être situé entre l’arbre impair (pignon du rapport 1) et un arbre secondaire dans le but de rajouter un contact extérieur d’engrènement. On a ainsi une rotation des roues dans le sens négatif .[pic 6]

1. Reconnaissance des organes mécaniques

Cf. annexe

1. Détermination des rapports de réduction

Rapports de réduction

Rapport 1 :

Z1 = 15 ; Z2 = 44 ; Z3 = 15 ; Z4 = 72

[pic 7]

Rapport 2 :

Z1 = 24 ; Z2 = 43 ; Z3 = 15 ; Z4 = 72

[pic 8]

Rapport 3 :

Z1 = 30 ; Z2 = 38 ; Z3 = 15 ; Z4 = 72

[pic 9]

Rapport 4 :

Z1 = 40 ; Z2 = 39 ; Z3 = 15 ; Z4 = 72

[pic 10]

Rapport 5 :

Z1 = 33 ; Z2 = 34 ; Z3 = 20 ; Z4 = 72

[pic 11]

Rapport 6 :

Z1 = 40 ; Z2 = 34 ; Z3 = 20 ; Z4 = 72

[pic 12]

Rapport marche arrière :

Z1 = 15 ; Z2 = 31 ; Z3 = 14 ; Z4 = 22 ; Z5 = 20 ; Z6 = 72

[pic 13]

[pic 14]

[pic 15]

*[pic 16]

*[pic 17]

Avec un moteur diesel :

avec 1 tour = 2020 mm[pic 18]

[pic 19]

Avec un moteur essence :

 [pic 20]

[pic 21]

En comparaison des deux types de moteur, on s’aperçoit que le type de moteur le plus adapté à cette transmission est le moteur diesel car la boîte de vitesse ne permet pas d’aller jusqu’à une vitesse de 260 km/h.

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